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Mot de la présidente

Le congrès Empreintes de femmes est né d’un désir très fort de sensibiliser les gens aux diverses réalités des femmes des Laurentides. Il est le fruit d’une démarche de dix-huit mois qui a donné lieu à des échanges et des réflexions collectives très riches pour offrir, au final, un lieu de ressourcement et de réseautage exceptionnel à toute personne qui porte à cœur l’amélioration des conditions de vie des femmes et de leur famille.

Au nom du Réseau des femmes des Laurentides (RFL), je remercie chaleureusement toutes les personnes impliquées dans les différentes étapes menant au congrès Empreintes de femmes.

C’est d’abord grâce à l’implication et au dévouement des membres du RFL et de plusieurs bénévoles tout au long du processus que cette expérience unique a été possible. Leur savoir-faire, leur savoir-être et leur générosité ont été la base solide sur laquelle le projet s’est construit… un projet de transformation sociale que l’on souhaite vivement porteur d’espoir. Un merci spécial s’impose pour Josée Camarra, représentante régionale du Conseil du statut de la femme, pour sa précieuse collaboration à la recherche et à la rédaction de ce magazine. Merci également à chaque conférencière et animatrice d’atelier pour le partage de leurs expertises.

Finalement, merci à vous, pour votre intérêt et votre présence au congrès. Je vous souhaite de vivre une expérience des plus enrichissantes!

Marielle Boyer, présidente
Réseau des femmes des Laurentides

Pistes de solution

Madame Vincent affirme que l’accompagnement des filles dans leur cheminement scolaire est important pour défaire les barrières érigées qui favorisent l’écart salarial.  Aussi, un travail de reconnaissance des emplois dits traditionnellement féminins doit être fait. Comme il a été dit dans les raisons expliquant l’écart salarial, les emplois « féminins » font références aux rôles traditionnels.  Or, ces rôles sont essentiels et doivent être payés à leur juste prix. Les conditions de travail doivent être améliorées  et une véritable volonté d’inclure les femmes dans les emplois non-traditionnels doit être démontrée.  Il est maintenant établi que la mixité des équipes augmente la qualité du travail.

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